• Une catastrophe est un événement brutal, d'origine naturelle ou humaine, ayant généralement la mort et la destruction à grande échelle pour conséquence.


    Il est possible de distinguer, schématiquement, deux principales familles de catastrophes, se distinguant par leurs causes.

    • Les premières, les catastrophes naturelles, concernent des événements climatiques, sismiques ou astronomiques majeurs,
    • les deuxièmes, liées aux activités humaines, sont parfois bien plus dévastatrices.

    Un tremblement de terre, ou séisme, résulte de la libération brusque d'énergie accumulée par les déplacements et les frictions des différentes plaques de la croûte terrestre (phénomènes regroupés sous le nom de tectonique des plaques). La plupart des tremblements de terre sont localisés sur des failles. Plus rares sont les séismes dus à l'activité volcanique ou d'origine artificielle (explosions par exemple). Il se produit de très nombreux séismes tous les jours, mais la plupart ne sont pas ressentis par les humains. Environ cent mille séismes sont enregistrés par an sur la planète. Les plus puissants d'entre eux comptent parmi les catastrophes naturelles les plus destructrices.

    La science qui étudie ces phénomènes est la sismologie et l'instrument d'étude principal est le sismographe.


    Dessin par Galitzine (1914) d'un sismographe Wiechert marquant l'introduction de l'amortissement du mouvement en sismomètrie


                          
                 









    Sismographe Ifremer pouvant être installé de façon temporaire au fond des océans




    Description Magnitude Effets Fréquence
    Micro < 2,0 Micro tremblement de terre, non ressenti[9]. 8000 par jour
    Très mineur 2,0-2,9 Généralement non ressenti mais détecté/enregistré. 1000 par jour
    Mineur 3,0-3,9 Souvent ressenti mais causant rarement des dommages. 49000 par an
    Léger 4,0-4,9 Secousses notables d'objets à l'intérieur des maisons, bruits d'entrechoquement. Dommages importants peu communs. 6200 par an
    Modéré 5,0-5,9 Peut causer des dommages majeurs à des édifices mal conçus dans des zones restreintes. Cause de légers dommages aux édifices bien construits. 800 par an
    Fort 6,0-6,9 Peut être destructeur dans des zones allant jusqu'à 180 kilomètres à la ronde si elles sont peuplées. 120 par an
    Majeur 7,0-7,9 Peut provoquer des dommages sévères dans des zones plus vastes. 18 par an
    Important 8,0-8,9 Peut causer des dommages sérieux dans des zones à des centaines de kilomètres à la ronde. 1 par an
    Exceptionnel > 9,0 Dévaste des zones de plusieurs milliers de kilomètres à la ronde. 1 tous les 20 ans



    Le point d'origine d'un séisme est appelé hypocentre ou foyer. Il peut se trouver entre la surface et jusqu'à sept cents kilomètres de profondeur (limite du manteau supérieur) pour les événements les plus profonds. On parle plus souvent de l'épicentre du séisme, qui est le point de la surface de la Terre qui se trouve à la verticale de l'hypocentre.






    Les tremblements de terres, sont les plus meutriers. Ils peuvent faire des milliers de morts ( voir la liste plus loin )







    Cet immeuble de Niigata, au Japon, a été renversé en 1967 par une "liquéfaction du sol" due à un séisme. Le sol s'est transformé en sables mouvants. Des habitants y sont tombés mais sans se noyer car la forte densité de cette "soupe épaisse" leur permettait de flotter












    Conséquences d'un séisme à Mexico.














    tremblement de terre de 1906













    Les tremblements de terre engendrent parfois des tsunamis, dont la puissance destructrice menace une part croissante de l'humanité, installée en bordure de mer. Ils peuvent aussi menacer les installations pétrolières et gazières offshore et disperser les décharges sous-marines contenant des déchets toxiques, déchets nucléaires et munitions immergées. On cherche à les prévoir, pour s'en protéger, à l'aide d'un réseau mondial d'alerte, qui se met en place, en Indonésie et Asie du Sud Est notamment.

    Dans certains cas, les séismes provoquent la liquéfaction du sol : un sol mou et riche en eau perdra sa cohésion sous l'effet d'une secousse.

    Pour les tsunamis, je vous ferai un autre article.








    Séismes les plus meurtriers depuis 1900
     

    Tremblements de terre ayant fait plus de 15 000 victimes, d'après les estimations des autorités locales (la notation comporte respectivement le lieu, le pays, la date, la magnitude notée M, et le nombre d'êtres humains morts) :


    La France métropolitaine est un pays dont la sismicité est considérée comme modérée. Les séismes y sont essentiellement superficiels, leur foyer se situant à moins de 256 km dans la croûte terrestre. Ils résultent du rapprochement lent entre les plaques africaines et la plaque eurasienne et sont distribués le long des zones à failles et glissements souvent anciens. Le fichier de la macrosismicité de la France (fichier SIRENE : BRGM-Risque et Génie Sismique, LDG-CEA (catalogue micro-sismicité, EDF) recense plus de 5 000 tremblements de terre ressentis au cours des dix derniers siècles, dont presque tous les séismes destructeurs depuis le XIVe siècle. Il comporte 22 séismes d’intensité épicentrale, sur le territoire français, supérieure ou égale à 7, soit en moyenne 4 par siècle. En France, on dénombre en moyenne chaque année une vingtaine de séismes de magnitude supérieure à 3,5 alors que plusieurs milliers sont ressentis dans l’ensemble du bassin méditerranéen.

    Les plus anciens séismes mortels en France se sont produits en:

    • 1227 : Aix-en-Provence et Lambesc (intensité 10 : 5 000 morts)
    • 1248 : Maurienne (9 000 morts)
    • 1556 : Comté de Nice (intensité 9-10 : 150 morts)
    • 1564 : Roquebillière, Comté de Nice (intensité 8 : 500 morts)

    Les plus récents séismes en France se sont produits les :


    1 commentaire
  • Je viens d'écrire une histoire pour les enfants, si vous le désirez vous pouvez la raconter le soir au couher. Comme elle est longue, faîtes le en plusieurs fois, ils attendront avec impatience la suite.
    Bonne lecture !


    On se trouve quelque part en Afrique. Les journées sont chaudes et les nuits relativement froides. Autour du point d’eau, la vie s’écoule lentement, mais un jour, ou plus tôt une nuit, une chose étrange se passe. Tout le monde en parle,même ceux qui d’habitude évite de se croiser ,sont réuni pour savoir si ce que l’on dit est vrai.
     <<C’est vrai ce que l’on dit >>demande la girafe.                                                                                                                                                    << Je pense bien,c’est le lion qui me l’a dit >> réplique le singe.        
    << Moi je le croirai,après que je l’aurai vu,de toute façon ont exagére tout le temps >> s’exclame le rhinocéros.
    Mais de quoi peuvent-ils bien parler ? Qu’est-ce qui met en ébullition toute la faune sauvage et qui les réunis tous pour la première fois ? Qui a mit cette rumeur en route et est-elle réelle ? Personne ne peut le dire.

    Sauf peut-être, celui qui a vu la chose. Et cette personne, c’est Léon le zèbre, qui la nuit dernière en allant s’abreuver a aperçu une étrange créature, oui, vraiment étrange, même bizar.            

    < Je vous jure qu’elle était vraiment môche. Elle avait un bec, de la fourrure, des grosses pattes griffu et une queue plate. Je l’ai vu comme je vous voit. Je l’ai observé pendant un certain temps et dés qu’elle m’a vu elle est parti dansl’eau, j’ai attendu, mais elle n’est pas revenu. C’est pourquoi, ce soir, je suis là avec vous, j’attend de la revoir, quitte à attendre toute la nuit ! Je ne suis pas un menteur. >
    < Ont n’a jamais dit ça, mais !  Met toi à notre place, ce que tu nous décrit, il faut vraiment le voir pour le croire, comme dit rhino. Alors, on va attendre avec toi. >
    Et, les voila tous autour de la mare, à attendre l’apparition de la bête. Au bout de plusieurs heures, sans faire de bruit, ils sont récompensés.  Sortant d’un terrier, l’animal montre le bout de son nez, ou du moins le bout de son bec. elle est vraiment comme on l’a dit, c’est-à-dire laide. Tout ce beau petit monde, n’ose pas bouger. Elle doit être féroce, vu la tête qu’elle a, il vaut mieux s’en méfier, et l’observer de loin, on n’est jamais assez prudent !

    Et, les jours passe, personne ne lui parle, ne lui demande qui il est, d’où il vient, ce qu’il fait ici. Il s’accommode de sa présence, mais pas plus. Cest un étranger, il n’a rien à faire chez eux, il se beigne dans    leur mare, mange leur nourriture et il faudrai aussi lui adresser la parole, et quoi encore ! Le pauvre animal, reste tout seul. Il doit faire face à tous les dangers, se nourrir et malheureusement, il ne lui en laisse pas, il doit se débrouiller. Un jour, c’était la fin de l’après midi, la journée avait été particulièrement chaude, tout le monde attendait ce moment avec impatience, de pouvoir se désaltérer. Et l’ont plonge, ont joue, ont rit. Ils sont tellement occupé, qu’ils oublient que le danger est toujours la.         
    Le petit du zèbre, qui n’est pas le dernier pour jouer, se repose dans la mare, après avoir bien chahuté.
    Un hurlement retenti, à vous glacer le sang;   Que se passe t-il ?  Sa maman commence à paniquer.                            
    Et, la, horreur ! Une tête surgit de l’eau, c’est le petit qui a été attrapé par un crocodile, si ont ne fait rien immédiatement, il va se noyer et être dévorer. Au moment où tout le monde va sauter dans l’eau pour aller à son secours, un remu ménage dans la mare ; les stops nets    
    Que se passe t-il ?    Où est le petit ?     Quelques seconds, qui semblent des heures, passent et le voila qui réapparais soutenu par la bête, qui le dépose doucement sur la berge. Tout le monde se presse autour du petit, il a quelques petites écorchures, mais rien bien de grave, plus peur que de mal et cela grâce à la bête. Mais ou est t-elle ?                                 
    Le lion commence à chercher, mais il a disparu, il l’appel.                    
    << ET monsieur, montrez-vous, ont ne vous veux pas de mal, ont veut seulement vous remercier, allez s’il vous plait, venez. >>    
    Mais la bête ne se montre pas, pourtant tout le monde l’appel et ils attendent, en vain. La nuit passe, personne n’a revu l’étrange animal. La journée s’écoule sans que l’on ne l’aperçoive.
    A la fin de l’après midi, quand le soleil va bientôt se coucher, un brouhaha se fait entendre, la bête est sur la berge ! Elle se réchauffe aux derniers rayons de soleil. Quand elle voit toute cette foule, elle se dresse sur ses petites pattes, mais ne se sauve pas, elle guette le moindre mouvement, on ne sait jamais, tous ne sont pas reconnaissants !    
    < Bonsoir monsieur, comment aller vous ?  On vous a cherché hier soir pour vous remercier, mais, je pense que vous ne vouliez pas nous parler ?  Je vous comprends, on n’a pas été très gentil avec vous.> Dit le lion.            
    < Cest un peu ça. > Réplique l’animal.    
    < Comment vous appelez-vous ? D’où venez-vous ? Qu’est-ce qui vous a amenez chez nous ?
    Vous êtes seul ? Vous avez une famille ?        
    Tout le monde parle en même temps, c’est un vacarme, la bête ne sait plus où donner de la tête.
    < S’il vous plait ne parlé pas tous en même temps ! Je ne comprends rien ! > Mais le brouhaha continu. Voyant qu’il ne parviendra pas à les faire taire, il se met à hurler.
    < Taisez-vous ! >                   
    Cela a pour effet de faire taire toute l’assemblée.               
    < Pardon, ont est vraiment mal élevé, ont vous écoute. Vous avez tous entendu ? Ont se tait et ont écoute, allez-y.> Dit le rhino de sa grosse voix.                                                                      
    < Et bien voila, je m’appel Youri, je suis un ornithorynque, je vie en Australie. >                     
    < En Australie ? Mais c’est loin, comment êtes-vous arrivé ici, et… ? >                         
    < Mais tait toi donc !  Le singe, Laisse parler notre ami.>                          
    < Merci, je continu, si je suis ici c’est que l’avion qui me transporté, a du se posé en catastrophe et la boîte dans l’a quelle j’été c’est casseé, j’été enfin libre. J’ai cru, que j’été sauvé, mais quand j’ai vu comment on m’accueillait, s’était pas gagné. Vous savez j’ai souvent eu peur et faim, et ! Un grand soupir et des sanglots dans la voix, il continu son récit. Ce qui me fait le plus mal c’est que je ne sais pas si ma femme et mes petits vont bien !>  
    < Dit nous où l’avion c’est posé, Ont va aller voir, chercher ta famille et te la ramener. Vous êtes tous d’accord ?> Demande le zébre, il lui doit bien ça, il lui a sauvé son petit.
    Tous, son prét à partir.
    < Vous ne pouvez rien pour moi.> Dit youri, hélas.
    < Mais pourquoi, ont est assez nombreux pour les retrouver ?> Dit le zébre.
    < Ce n’est pas cela, c’est que ma famille est resté au pays, moi, j’ai été prit dans un piège et ont m’amené dans un zoo.>  
    < Au zoo ?      C’est affreux ?    Il faut trouver une solution et vite.> Hurle le petit du zèbre, qui se met à pleurer. Il pense aux enfants, qui ont vu leur papa enlevé, ils doivent le croire mort.
    < Nous allons y réfléchir, voir ce que l’ont peut faire. Mais pour ce soir il est trop tard, alors parle nous de toi, oh, pardon je peut te tutoyer.>
    < Oui, bien-sûr, tutoyer moi, et, je vais vous parlez de moi. Comme je l’ai déjà dit, je suis un ornithorynque, je suis un mamifère, mais nous, ont pond des œufs, oui des œufs ! C’est vrai que mon apparence n’est pas très conventionnelle, avec mon bec, mes pattes palmées, ma queue de castor, ma fourrure, en plus je suis nocturne, c’est pour cela que dans la journée, vous ne me voyez pas, je creuse un terrier prés de l’eau et le pire c’est que mes griffes sont venimeuses.>
    < Bon ! Ont finira, demain, pour ce soir, ont va se reposer, et demain ont reprendra notre conversation. Alors bonne nuit, mon ami.>
    Le lendemain, en fin d’après midi, tout le monde est de nouveau rassemblé, pour écouter Youri et savoir si quelqu’un à une idée pour qu’il puisse repartir chez lui.
    < Bonjour à tout le monde; lance le lion. Et, maintenant j’attend vos suggestions !>
    < Moi, je pense que l’ont pourré, écrire à sa famille pour la rassuer.>
    < Ecoute le singe, tu as oublié que l’ont ne sait pas écrire, et qu’il y a pas de poste à des centaines de kilomètres à la ronde ! J’attends ? Alors personne n’a d’autre idée ?>
    <Moi j’en ai une, moi j’en ai une, hurle le petit zébre. Il faut le mettre dans une boîte et l’envoyer sur une fusée, qui ira se poser en Australie ! Alors elle est bonne ?>
    Tout le monde se met à rire, même Youri.
    < C’est ridicule, n’importe quoi, vraiment nul !> disent tous ensemble l’assemblée !
    < Mais, non c’est pas si bête que ça, il fallait y penser !> Réplique le rhino.
    < On n’a déjà pas de poste, alors, une fusée ? Laisse moi rire !> Apostrophe l’hippopotame, qui n’avait encore rien dit.
    < Je ne pensai pas à une fusée, mais mieux que cela, un avion ! Oui tous les mois il y a un petit avion qui amène des touristes, repart avec beaucoup de colis, un de plus ou un de moins, cela ne fera pas de différence !> dit le lion.
    < Mais, si l’avion ne part pas en Australie ? Comment ont fait ? Il ne faudrai pas qu’il se retrouve à Pam plume. Se serait drôle, oh pardon, je ne voulais pas dire ça !> Dit le singe, tout en riant.
    < C’est vrai, il faut savoir quand un avion part pour ton pays. Eliot, Eliot, vient voir un peu par ici !>
    Et voila qu’un vautour, vient se poser prés du lion.
    < Oui, qu’est-ce que je peut faire pour toi ?>
    < IL faut que tu ailles voir quand un avion décolle pour l’Australie. Et revenir aussi vite que tu peux. C’est pour notre ami ! Je te présente Youri, un ornithorynque !>
    Quand Eliot voit la bête, il sursaute et recule de trois pas.
    < C’est quoi cette horreur ! C’est peut-être votre ami, mais il est môche. Vous voulez vraiment aider cette chose ?>
    < Tu n’as pas honte, De dire de telle choses sur notre ami ?>
    <Oh, pardon, monsieur en plus d’être moche, il est susceptible !>
    < Tu ne changera donc jamais ! Toujours aussi désagréable ! Mais trêve de politesse, j’ai besoin de toi, alors tu accepte d’y aller ?>
    Ne répondant pas à la question du lion, Eliot part d’en une grande envolé. Il ne reviendra pas avant demain dans la journée. La nuit va être longue à attendre son retour.
    < Pour ceux, qui vivent le jour, il est temps d’aller dormir ! Pour les autres, soyaient prudent ! A demain, tout le monde.> lance le lion.
    Le lendemain dans l’après midi, Eliot est de retour. Il est tout excité et essoufflé. Il a du mal à reprendre son souffle.
    < Je n’en peut plus, je suis revenu sans m’arrêter et je peux vous dire qu’il va falloir se magner train, car l’avion part après-demain, il y a de la route et si je me trompe, je ne voit personne avec des ailes ! Allez, grouillez-vous ! Il est où votre ami ? Moi je dis ça ! Mais après tout vous faites ce que vous voulez !>
    Tout ceux qui sont la se mettent à crier en cœur après Youri, mais il ne répond pas. Ou est-il passé ? Ah oui, c’est vrai qu’il dort le jour ! Ont cherche après son terrier, une fois trouvé, le lion se poste devant et se met à rugir de toute ses forces. Le sol tremble, et quelques secondes après, Youri sort de son lit, les yeux encore endormi, la fourrure en bataille, il baille bruillament.
    < C’est quoi se vacarme, vous m’avez fait peur !  Y a pas l’feu, j’ai pas fini ma nuit !>             < Ecoute; youri, tu finira ta nuit à un autre moment ! Il y a un avion qui part dans deux jours et il faut partir immédiatement. La route est longue et risqué, je vais t’accompagner avec Zimba le singe et Eliot le vautour. Comme ça, Eliot, d’en haut pourra voir le danger  arrivé de loin, il avertira Zimba, qui lui sera en éclaireur et comme il court vite et peut monter aux arbres, il aura vite fait de nous le faire savoir, pour que l’ont est le temps d’éviter le danger. Cela te convient ? Où tu as une autre idée ?>Demande le lion !
    < Non, c’est très bien, de toute façon je ne connaît pas région et je vous fait confiance. Ceux qui comptent pour moi, c’est de retrouver ma famille. Alors ont peut partir !>
    < Et à moi ? On ne me demande pas mon avis ?> S’exclame le vautour.
    < Tu veut que je te supplie ? Alors d’accord !>
    < Ah, ne soit pas rabat-joie, je disais ça pour rire ! Bien sûr que je suis d’accord ! Mais j’espére que tu t’en souviendra quand même ?>
    < Toujours aussi désintéressé !> s’exclame le rhino.
    < Bon, alors ! Ont se bouge ou ont prend racine ?> Dit Eliot.
    < Allé, c’est parti, tout le monde est prêt ? Dites au revoir à youri, mais vite, sinon ont va raté l’avion !>
    Après, des embrassades ému, ils se mettent en route. Youri est heureux, mais triste aussi de quitter ses nouveaux amis. Le chemin est long et Youri ne marche pas vite, il a des petites pattes. Très haut, ont aperçoit Eliot qui tient son rôle au sérieux. Mais où est passé Zimba ! Personne ne l’a vu partir, est-il vraiment en éclaireur comme convenu ?
    < TU l’as vu toi ?> demande le lion à Youri !>
    < Non j’était trop occupé à dire adieu, mais il doit surement être plus en avant ! Il faut le crier ont sera rassuré ?>
    < Malheur, non ! Ont va nous repérer; Ici, c’est très dangereux et vu à la vitesse que tu cours c’est sur que tu finirai dans l’estomac d’un fauve !>
    Sans en savoir plus, ils continuent leur route, si il est là il finira par se montrer et le temps ne leur permet pas de ralentir. Cela fait plusieurs heures qu’ils marchent, et Youri commence à fatiguer, il n’a pas l’habitude de marcher autant et en plus le jour.
    < Je n’en peux plus, il faut que l’on s’arrête, j’ai besoin de me désaltérer, il me faut une marre, si c’est possible !>
    < Je suis désolé ! Ont n’est pas dans ton pays, ici les points d’eaux sont rare. Et, Zimba qui n’est pas là ! Jamais là quand il le faut !> Dit le lion sur un ton de colère.
    < Ont me demande ? J’été là, mais le travail d’un éclaireur, c’est d’être discret. Alors vous êtes surpris ! Vous ne me croyez pas capable de tenir mon rôle au sérieux, je suis déçu.>
    < Oh, ne joue pas les martyr ! Si tu étais là ! Tu as entendu, il faut que tu trouve rapidement de l’eau, ont attend ici.>
    Une vingtaine de minutes plus-tard, le singe revient avec une bonne nouvelle, il a trouvé un petit point d’eau.
    < Alors, elle se trouve où cette marre ?> demande le lion.
    < Vous avez qu’a me suivre, je vous y conduit !>
    les voila enfin arrivé. Mais c’est quoi se point d’eau !
    < Le singe !> Crie le lion.
    Oh, quand le lion l’appel le singe, c’est qu’il est vraiment en colère !
    < C’est quoi, se minuscule, je dirai mieux, se microscopique point d’eau ?>
    < Ecoute, le lion, je n’ai jamais dit que c’était une piscine olympique ! J’ai dit que j’avais trouvé de l’eau c’est tout !>
    < C’est vrai, il a dit ça ! Ne t’inquiéte pas je vais m’en contenter, c’est mieux que rien. Au moins je vais pouvoir me désaltérer.            
    < C’est bon pour cette fois ! Je vous laisse boire en premier, car après que je suis passé, il ne va rien rester.>
    Après que tout se petit monde ai bu, ils se remettent en route, la nuit commence à tomber et le danger se fait encore plus présent. Maintenant, il faut redoubler de prudence. Le vautour, qui a une vue puissante le jour, ne lui sert à rien la nuit. Le singe à lui aussi besoin de se reposer, et c’est dangereux aussi. Tout le monde décide donc de chercher un endroit sûr, pour dormir un moment, même Youri qui vit la nuit, ne demande qu’à dormir.< Bon, ont va se reposer un peu, mais pas trop longtemps, il y a encore beaucoup de route à faire ! Se serait malheureux de rater l’avion, après tout le mal que l’ont se donne !> En quelques minutes, il dorment tous, bien bloti l’un contre l’autre, sauf l’aigle qui lui se repose sur une branche. Qui aurait cru, qu’un jour, un lion, un singe et un ornithorynque, puissent dormir ensemble !
    La nuit fut très courte, il faut maintenant repartir, la route est encore longue. La journée se passe entre, beaucoup de marche et peu de repos, mais heureusement aucun problème majeur, seulement Zimba qui fait toujours le pître, c’est tant-mieux la route parait moins longue.
    La nuit est aussi courte et youri est épuisé, mais il ne doit pas abandonner ils sont presque arrivé. En fin de matinée, Elliot, vient se poser prés d’eux.
    < Je viens de voir l’avion, vous êtes à peut prés à une heure de route, alors courage ! Je repars et je vous attends sur place.>
    < D’accord, ont se dépêche, mais surtout prévient nous si il se passe quelque chose !> 
    Ils reprennent la route, heureux d’être aussi prés du but. Enfin, il aperçoivent eux aussi l’avion.
    < Et !  Zimba, tu peux nous trouvez une boîte pour que l’ont puisse y mettre Youri !> Demande le lion
    < A vos ordres chef !>
    Il ne changera jamais, toujours à blaguer, même quand l’heure est grave. Quelques minutes plus tard le revoila avec une belle caisse.
    < Vous avez vu ! Vite fait bien fait, et maintenant qu’est-ce qu’ont fait ?>
    < Il faut mettre de l’eau dans la caisse avec Youri, je ne sais pas combien dure le voyage !>
    Dit, le lion !
    <Et si il y a un changement d’avion en cours de route comment ils vont savoir que la caisse doit partir pour l’Australie ? Il n’y a rien d’inscrit dessus.> Demande Eliot.
    < Tu as raison ! Il faut faire quelque chose, mais quoi ! Je ne sais pas écrire et vous non plus. Vous avez une idée ? > Dit le lion.
    < Je vais aller jeter un coup d’œil, et voir se que je peux faire. Ici ont à l’habitude de voir un singe, ils ne feront pas attention à moi, je reviens aussi vite que possible. En attendant rester bien caché ! Se serai malheureux de se faire capturer maintenant ! Bon, j’y vais.>
    Le lion n’en revient pas ! Serait-il possible que se voyage est transformé Zimba à se point ? Un nouveau Zimba est né. Au bout d’une demi -heure, il revient tout excité.
    < Bon ! Je suis le meilleur, reconnaissez-le ! J’ai trouvé ce qu’il vous faut.>
    < Mais, qu’Est-ce que tu as trouvé ? Dit nous le ?> disent en cœur le lion et Youri.
    < Moi je sais ! Moi je sais !> Cri Eliot.
    < J’ai parlé trop vite tout à l’heure ! Quand j’ai dit, que tu avais changé ! Alors tu parles ! Ou il faut que je me fâche ?>
    < Tu sais ! Que je comprends quelques mots que les humains prononcent ? Alors j’ai bien écouté, j’ai entendu le nom de ton pays, j’ai vu une personne qui montrait une boîte et qui disait « pour l’Australie » j’ai repéré la boîte, vous allez me suivre et vous allez voir ce que vous allez voir !>
    Les voilà, qui suivent Zimba. De toute façon ils n’ont pas le choix, c’est le seul qui a une solution. Pourvu qu’il a vraiment bien compris !
    < Dit donc ! Eliot, qu’est-ce que tu sais ?>
    < Moi ? Rien, j’ai seulement observé de loin et je n’ai rien entendu !>
    < Comme toujours, tu ne te mouille pas !>
    Les voila qu’ils arrivent, prés de la boîte, Zimba l’ouvre retire tout ce qu’elle contient, les fait rouler sous le camion le plus prés et demande à Youri de se glisser à l’intérieur, puis y met de l’eau.
    C’est le moment des adieux. Tous ont les larmes aux yeux, mais le lion qui est très fier, tourne la tête pour ne pas ne pas le montrer. D’un revers de pattes essuie ses larmes et ne renifle, ce qui ne laisse pas Youri indifférent !
    < Bon, il faut maintenant y aller, avant que l’ont nous repère ! Alors adieu mon ami, prend bien soin de toi et j’espère que tu vas retrouver ta famille. > Dit le lion.
    Soudain, un bruit les fait sursauter. Le lion referme la boîte d’un violent coup de patte, sans regarder. Il ne s’est pas aperçu que Zimba était penché sur la boîte, afin d’embrasser Youri. La violence du coup, fait tomber Zimba dans la boîte avec Youri, il en perd connaissance. Le lion c’est caché sous le camion et Eliot, lui c’est envolé sans se retourner.
    La boîte est emporté et mise dans l’avion. Personne ne s’est encore aperçu que Zimba n’est plus là, sauf bien sur Youri qui essaye tant bien que mieux de réveiller le singe. Quand il y parvient, l’avion a déjà décollé. Quand au deux autres compères ils cherchent Zimba. Soudain le lion repense à l’épisode de la fermeture de la boîte et se met à rugir de toute sa force, il vient de comprendre que leur ami est maintenant dans les airs avec Youri. Que Va-t-il devenir loin de sa terre natale ? Il se dit que son nouvel ami va s’occuper de lui, mais il va falloir expliquer à sa famille qu’il ne reviendra peut-être jamais. C’est sans compter sur la nature de Zimba. Mais ça c’est une autre histoire.                                                                                                         


     
                                                                                            


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  • Bienvenue dans l'univers des volcans


    Les éruptions volcaniques fascinent et inquiètent, et leur énormité a longtemps effrayé les hommes. Le mot "volcan", dérivé de Vulcain, dieu du feu chez les Romains, évoque pour la plupart d'entre nous un édifice montagneux conique à sommet tronqué, creusé d'un entonnoir rempli de lave. Mais, les vulcanologues les voient tout autrement. Le terme "volcan" désigne en fait tous les systèmes naturels complexes par lesquels s'épanchent à la surface du sol des matériaux provenant des zones internes du globe. Mais, d'où viennent les volcans? De quoi sont-ils fait? Quelles sont les conséquences d'une éruption volcanique?







    Craint et vénéré, le volcan s'impose par sa richesse et son ambivalence : tour à tour monstre indomptable, entité sacrée pour de nombreux peuples ou fenêtre vers l'intérieur du globe.

    Un volcan est constitué       

    - d’une chambre magmatique, où s’accumule le magma,            

    - d’une cheminée, par où remonte le magma vers la surface

    - d’un cratère, par où s’écoule la lave à la surf

    - d’un cône volcanique qui est formé au cours du temps par les différentes éruptions volcaniques.

                                            






    Schéma d'un volcan effusif
                   

    Les volcans effusifs

    Ce type de volcan, possède une lave qui coule par le cone. La lave est plus ou moins pateuse et se déplace plus ou moins rapidement, celon les volcans.

    Exemple de volcan effusif : les volcans hawains.

    Les volcans explosifs

    Ce type de volcan, possède un cone boucher, qui explose sous la pression du gaz dissous et de la lave qui monte sous pression jusqu'au cone et le fait exploser. Suite à l'explosion, un épais nuage de gaz toxique est éjecté dans l'atmosphère. Puis, il retombe sur le cone, qui dévale à très grande vitesse. Ce nuage de gaz qui dévale le cone se nomme nuée ardente et possède une température élevée mais également, des gros blocs de pierres, qui détruisent tout sur leur passage.

    Exemple de volcan explosif : pompei.

    I

    - les éruptions dites effusives. Elles sont accompagnées de coulées de lave très fluides sous forme de fontaine ou de rivières. Ces éruptions sont spectaculaires mais pas dangereuses.






    Volcan explosif









    Quand des éruptions ont lieu sous la mer au niveau des dorsales, on a affaire à des éruptions effusives sous-marines. Le magma en se solidifiant crée comme des coussins de lave qu'on appelle des pillowlavas 




    La plupart des volcans se trouvent sous la mer

    Il y a dans le monde plus de 1000 volcans actifs .

    les « volcans rouges » aux éruptions effusives relativement calmes et émettant des laves fluides sous la forme de coulées. Ce sont les volcans de « point chaud » et les volcans sous-marins des dorsales océaniques ;

      • volcan bouclier : le diamètre est très supérieur à la hauteur à cause de la fluidité de leurs laves qui peuvent parcourir des kilomètres avant de s'arrêter. Le Mauna Kea, l'Erta Ale ou le Piton de la Fournaise en sont des exemples ;
      • stratovolcan : le diamètre est plus équilibré par rapport à la hauteur à cause de la plus grande viscosité de leurs laves. Il s'agit des volcans aux éruptions explosives comme le Vésuve, le Mont Fuji, le Merapi ou le Mont Saint Helens
      • Le magma est le matériau de consistance fluide à visqueuse, sous pression, contenant des gaz, non cristallisé qui s'est formé à partir de la fusion partielle ou totale du manteau (anatexie) au niveau d'un point de chaleur (point chaud), de décompression (dorsale) et/ou d'un apport d'eau (fosse de subduction). Généralement, il remonte vers la surface et se stocke dans la lithosphère en formant une chambre magmatique. Dans cette chambre, il peut subir une cristallisation totale ou partielle et/ou un dégazage qui commence à le transformer en lave. Si la pression devient suffisante pour qu'il soit éjecté à la surface, il remonte le long d'une cheminée volcanique et est émis sous forme de lave, c’est-à-dire totalement ou partiellement dégazé.


    • Suivant le type de lave qu'ils émettent et le type d'éruption, les volcans peuvent prendre différentes formes :
      les éruptions dites explosives. Ce sont d'énormes explosions souvent meurtrières et dévastatrices. Le magma est très visqueux et a du mal à remonter dans la cheminée. Au bout d'un moment, comme pour une bouteille de champagne, ça explose. Ces éruptions sont souvent accompagnées de gros panaches de fumée dans le ciel ou de nuées ardentes (nuages de cendres qui dévalent les pentes du volcan à une vitesse pouvant atteindre les 500 km/h).

     

    Construction d'une maquette de volcan
         Matériel

    une feuille de papier découpée de telle sorte qu'en la pliant elle fasse un cône,

    des feutres ou de la peinture,

    une petite bouteille de 33 cl vide,

    du jus de tomate,

    du bicarbonate de soude,

    du vinaigre.

     

    Que faire?

    Colorie ou peins la feuille en volcan.

    Roule ta feuille pour faire un cône et pose-la sur la bouteille.

    Dans la bouteille, verse du jus de tomate et du vinaigre.

    Enfin verse du bicarbonate de soude dans la bouteille et observe l'éruption effusive.

    Si tu veux faire une éruption explosive, après avoir versé le bicarbonate de soude, visse vite le bouchon sur la bouteille (pas complètement) et attends qu'il y ait assez de gaz pour faire exploser le bouchon.

     

    Conséquences d'une éruption


       Lorsqu'on voit des images d'une éruption volcanique, on voit aussi des forêts, des villes et des villages détruits, brûlés, ensevelis par la lave ou les cendres. Des centaines de personnes et des milliers d'animaux sont tués dans certaines éruptions. Mais, les gens cherchent souvent à construire leur habitation à proximité d'une zone volcanique, active ou non. Pourquoi le font-ils? C'est que les volcans apportent beaucoup de problèmes, mais aussi des avantages. Premièrement, la lave, rejetée en grande quantité, contient beaucoup de minéraux (comme le potassium, le calcium et le fer), des sels et autres (azote, eau). Ces substances sont essentielles à la croissance des plantes. Donc, les zones volcaniques sont des terres très fertiles, propices à l'agriculture. Le problème, c'est que lorsqu'une éruption se produit, tout est anéanti...

       De plus, croyez-le ou non, on se sert des volcans comme système de chauffage. À certains endroits, les gens ont trouvé le moyen de rendre les mofettes et fumerolles utiles. Lorsqu'elles s'échappent à une certaine distance du volcan, on installe un système de tuyaux qui récupère les gaz. Ceux-ci, qui sont très chauds, sont soit accumulés pour usages ultérieurs, ou utilisés directement pour réchauffer l'eau et la maison. C'est la preuve qu'on peut toujours se débrouiller avec ce qu'on a!

     

                                     Une ville envahie par la lave de l'Eldfell, en Islande
     

     

    Le 9 août 2006, des yachts croisant aux environs de l'archipel des îles Tonga ont signalé une éruption sous-marine au « Home Reef », situé au sud de l’ïle Late. Trois jours plus tard, l’équipage d’un yacht norvégien, le « Maiken », signala la présence d’une île non reportée sur les cartes marines.


    S’étendant sur environ 1,5 km, l’île était couronnée par un énorme panache de vapeur et la mer était couverte, sur une grande surface, de débris flottants de pierres ponces (dacitques) éjectées par l’éruption.

    A la mi-octobre, les éruptions sur l’île cessèrent et son démantèlement débuta. C’est souvent le cas pour les nouvelles îles. Si la roche n’a pas le temps de consolider, les vagues emportent les matériaux rapidement vers le large. Le 8 décembre, un avion militaire néo-zéalandais réalisa la dernière photographie de l’île Home Reef et on constata que l'îlot avait été amputé de près de la moitié de sa surface.


    Le volcan "Home Reef" a été signalé actif pour la première fois au milieu du 19ème siècle. A l'époque, une île éphèmère s'édifia ainsi au fil des éruptions. En 1984, une éruption a produit un panache haut de 12 km et a émis une grande quantité de ponces flottantes. L'éruption édifia une île éphémère de 500 x 1500 mètres où des falaises hautes de 30-50 m. entouraient un cratère rectangulaire rempli d'eau.

    Home Reef n’était pas le premier volcan sous-marin à surgir à la surface de la mer. L’île de Surtsey fît de même en 1963 au sud des côtes islandaises, cette fois avec suffisamment d’énergie pour créer un élément géographique permanent. Néanmoins, ce ne sera pas la dernière île à surgir ainsi des flots. Dissimulée à moins de 10 mètres sous la surface de la Méditerranée, à 40 km des côtes méridionales siciliennes, s’élève le volcan sous-marin Empedocle. Sa dernière éruption date de juillet 1831 et produisit une île de 4 km2. Les Italiens (qui l’appelèrent Fernandinea), les Français (Julia), les Britanniques (Graham) et les Espagnols réclamèrent la souveraineté sur cette nouvelle île. Mais en janvier 1831, avant qu’ils puissent s’y installer, l’île disparût dans les flots. Il n'est cependant pas exclu qu'une nouvelle éruption puisse à nouveau la faire resurgir des flots.

     


                                   Un merveilleux portrait: la neige et les gaz brûlants réunis...



                                          
                                   








    Sakurajima
    st Héléné






    Pacaya                                                                                                   Paricutin









                                                                                                                                 Mérapi
    Krafla

















    Karymsky                                                                  Conception






                                       











    Bromo                                        Agua

                                                                                                                                                                                                                                     
     















     Etna                                                                                                                    Kilauca


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  • Voici quelques petites poésies,selon mon humeur.Elles ne sont pas trés longues,facile à lire et à comprendre.Qu'elles vous plaisent ou pas,votre avis m'interesse.Les critiques sont aussi constructible que les compliments.n'ayez pas peur,je ne me véxerer pas,surtout que c'est la première fois que j'ose cet exercice,alors allez-y ,lachez-vous et essayez, vous aussi.Le ridicule ne tue pas.bonne lecture.                                                                                                                                                                                                                                   
                                                      
                                                     

                                                ROSE                                                                                                                                                                                                                         

                           Ont dit, que c'est la plus belle des fleurs.
                           Elle a eu tous les honneurs.
                           Les poètes,les peintres et chanteurs,
                                               Tous,ont glorifié sa splendeur.
                                               Certain diront << horreur,malheur!>>
                                               D'autre << bonheur,senteur!>>
                                              Si par malheur,vous dîtes << c'est une horreur! >>
                                              Ne compté pas être des leurs;
                                              Ils préféreront vous arracher le coeur.
                                             Et,quand viendra votre dernière heure;
                                             Ont dira << c'est celle qui n'aimait pas les fleurs.>>           




                                                  CALIN                                                                                                    

                        
                                 Dés que je le frôle, il se raidit                      
                         Que c'est drôle comme il réagit.
                         J'aime passer mes doigts dans ses poils soyeux.
                         Que de joie, de le voir si heureux.
                         Mes lèvres embrasse sa tête toute ronde.
                         Tout s'efface,nous somme seule au monde.
                         Aprés de longues caresses,il se détend.
                         Non,je ne suis pas une déesse,même pas un parent.
                         Seulement sa maitresse;vous ne me croyez pas?
                         Ne vous déplaise,moi, cela ne me choque pas.
                         Cette poésie toute en finesse,pour vous dire que j'aime mon chat.
                                              A Domino qui va avoir 1 an le 15 décembre 2008

                                             
                                                                                Domino
    Le rêve de Domino


                      

                                                                              Destiné

                            

                                            Si un jour tu l'as croise,ne te retourne pas.
                                  Tu sais elle est surnoise et ne compte pas ses pas.
                                  Un jour par ici,un jour par là.
                                  Qui un ami,qui un papa.
                                  Tu l'as souvent vue de loin.
                                  Parfois même chez ton voisin.
                                  Tu te dit <<ce n'est pas encore pour moi.>>
                                  Ne la sous-estime pas,elle reviendra un jour vers toi.
                                  Tout doucement,nuit aprés nuit.
                                  En toi c'est infiltré,sans faire de bruit
                                  Les jours,les mois,les années.
                                  Rien ni fait,elle est repassé.

                                  Tiens,ont frappe à la porte << bonsoir! tu te souviens de moi?
                                  Non! tu ne me reconnais pas?
                                  Je suis la mort,et oui déjà! >>


                                

         
         La mort.














     


                                            

                                           Les vieux               



                                     Qu'est-ce qu'un vieux?
                                     Certains diront<< c'est pas bien. >>
                                      D'autres << c'est la fin. >>
                                     Mais,la fin de quoi? Eh bien la fin!
                                     Oui, mais même les vauriens ont une fin;
                                     Ne change pas de conversation,sinon ont ne verra pas la fin!
                                     C'était quoi la question?
                                     Ah oui!c'est quoi un vieux?
                                     Moi j'ai une petite idée,c'est un peu plus joyeux.
                                     Je vous l'a dit? Je ne pense pas comme eux.
                                     Un vieux? c'est un jeu
                                                    Je vous laisse méditer un proverbe africain:
                                      Quand une personne âgé meurt,c'est une bibliothéque qui brûle.



                                                 



      Une veille personne.                     

                                
                                      

     

     

     

           

     


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  • Les tornades fascinantes



           




    DESCRIPTION D'UNE TORNADE

    Une tornade est une tempête tourbillonnante très intense se manifestant par un entonnoir nuageux (le tuba) accordér à la base d'un cumulo-nimbus et s'accompagnant de pluie voir d'un orage ou de grêle. Elle tournoie en général dans le sens des aiguille d'une montre dans l'hémisphère sud et dans le sens contraire dans l'hémisphère nord. La tornade peut s'élever et s'abaisser successivement et ne toucher le sol que de temps à autre sur son passage.

    Elles sont caractérisées par :

    des vents violents, où des vitesses de vent supérieures à 400 km/h ont été observés. Mais la vitesse du vent à l'intérieur d'une tornade est difficile à mesurer, mais estimée à 660 km/h.

    - une forte baisse de pression qui peut atteindre ou même dépasser 100 hPa lors du passage d’une tornade. Ce qui correspond à une baisse d’un dixième de la pression en surface, qui devient ainsi comparable à celles qui règnent au niveau de la mer au centre de supercyclones comme David (1979), Allen (1980), Hugo (1989) ou Andrew (1992), pour ne citer que les plus fameux parmi ceux qui ont sévi sur la zone des Caraïbes au cours des dernières décennies.

    - un diamètre de la pointe de l'entonnoir de 15 à 30 m. Mais le diamètre de la tornade varie de 15 m à 1 km
    - elles se déplacent de 50 à 100 km/h, se déplaçant sur une distance comprise entre 4 et 6 kilomètres et durent en moyenne de 10 à 30 minutes, mais certaines peuvent vivrent plusieurs heures.

    DYNAMIQUE D'UNE TORNADE


    (1) Les orages sont comme une pompe à air, ce qui leur fournit humidité et instabilité
    (2) L'air ascendant amorce un mouvement tourbillonnaire
    (3) Bien souvent, des chutes de grêle et des éclaires sont observées à proximité de l’entonnoir

     

    Une tornade peut durer de plusieurs minutes à quelques heures. Après avoir atteint son intensité maximale, le tuba rétrécit en s’inclinant à l’horizontale, et se déforme en finissant par mourir.

                                                           











                                                    

    Séquence montrant naissance d'une  tornade:

    En haut nuages en rotation.




    Au milieu formation de l'entonnoir.










    En bas la tornade touchant le sol prés de Dimmitt, il s'agit d'une tornade violente les plus documentées par le projet VORTEX.
                                                                                                                                                        
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           Chasseurs de tornades du NSSL avec instrumentsdont un radar doppler mobile (image du bas) dans le cadre du projet VERTEX en 1994-95 









                                                          
                                              
                                                                                                                                                  

      NSSL:National Severe Sterms laboratory.
                                                                                                                                         
    Cest un laboratoire de recherche sur les orages violents.Fondé par la national océanic and atmosphéric administration en 1964 et situé à Norman dans l'oklahoma,aux états-unis.         

       

    Les chercheurs du NSSL travaillent sur tous les aspects de la prévision et de la détection des orages violents dans le but d'améliorer le préavis des alertes à la population pour sauver des vies et protéger les biens. Les champs de recherche incluent le radar météorologique, les algorithmes de détection des phénomènes violents par le radar (grêle, vents violents et tornades) et la recherche sur la modélisation des tornades.

            

     

    L'antenne de VHF du côté droit reçoit des signaux dans la bande de télévision du canal 3. Ce signal est traité par l'électronique dans le petit bâtiment en plastique du côté gauche de l'image pour déterminer le temps à l'où le signal est reçu à dans moins qu'un millionième d'une seconde. Ces fois et informations sur le signal est alors renvoyée à une unité centrale de traitement dans le Normand par l'intermédiaire de l'antenne de communication près du bâtiment en plastique. L'unité centrale de traitement enregistre l'information de toutes les stations et, en temps réel, passe les temps de plusieurs antennes de déterminer l'endroit tridimensionnel auquel un segment de canal de foudre a rayonné le signal. Ces données sont employées avec le radar et autre des mesures d'orage dans des études scientifiques pour aider à comprendre comment les orages produisent la foudre et à développer des manières d'employer des données de cartographie de foudre pour avertir et la prévision des risques de temps.

    Le premier radar
    Doppler américain a été conçu par le NSSL et a abouti depuis au radar opérationnel NEXRAD qui couvre ce pays. Le NSSL a également été très actif dans le domaine des radars mobiles, entre autres pour la chasse aux tornades.

    Le NSSL travaille également avec le "
    Storm Prediction Center" qui est le centre de prévision des orages violents et qui émet les veilles météorologiques aux États-Unis. Ensemble, ils vérifient l'efficacité des prévisions et font de la recherche pour les améliorer.

       
    Radar de WSR-88D
          
    Les ingénieurs de NSSL développent des techniques pour améliorer le traitement des signaux, qui prolongera l'utilité du réseau courant de radar de Service Météorologique National.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      

    La plus ancienne photographie de tornade prise le 28 août 1884

                                                                                                                                

                                                                                                                  
    Tombe marine,vue d'avion
                                     

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 


    Tornade dans les rues de  Salt Lake City Le 11 août 1999
    à howard dans le Dakota du sud








           







    Les dégats d'une tornade







    Radar Doppler Polarimétrique

    COMMENT LES RADARS POLARIMÉTRIQUES FONCTIONNENT-ILS ?

    Les radars envoient des éclats courts des ondes radio appelées des impulsions. Les impulsions rebondissent outre des particules dans l'atmosphère et l'énergie est réfléchie de nouveau au plat de radar. Un ordinateur traite les signaux retournés et, par des algorithmes, peut faire les conclusions au sujet quels genres de particules il « a vus, » comprenant les directions qu'ils se déplacent (l'effet de Doppler), et la vitesse de leur mouvement. Le radar de WSR-88D transmet les impulsions horizontales, qui donnent une mesure de la dimension horizontale du nuage (l'eau de nuage et glace de nuage) et de la précipitation (neige, granules de glace, grêle et particules de pluie).

    animation de transmission horizontale et verticale d'impulsion des radars conventionnels et polarimétriquesLes radars polarimétriques, également appelés les radars de duel-polarisation, transmettent les impulsions d'onde radio qui ont des orientations horizontales et verticales. Les informations supplémentaires des impulsions verticales amélioreront considérablement beaucoup de différents types des prévisions et d'avertissements pour le temps dangereux. Le radar de recherches du KOUN de NSSL a également la capacité de transmettre les impulsions horizontales et verticales en même temps, utilisant « un arrangement de transmission simultanée, » (les la plupart recherchent les radars polarimétriques emploient un arrangement alternatif transmission horizontale/verticale). Ceci réduit le temps où il prend pour balayer un secteur.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         



                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      

    QUOI FAIRE EN CAS DE TORNADE:

    • Se tenir loin des portes, fenêtres et murs extérieurs. Se protéger la tête.
    • Se réfugier au sous-sol, sous une table robuste, sous un escalier ou dans un placard.
    • Se tenir au centre de la maison ou sur le côté opposé à l'orage, i.e. dans le coin sud-ouest du refuge.
    • Eviter les bâtiments dotés de vastes toitures (stade, grange,...)
    • Dans un immeuble à bureau, se réfugier dans un corridor intérieur, au niveau inférieur et de préférence dans le sous-sol.
    • En plein-air, se déplacer dans la direction perpendiculaire à la trajectoire de la tornade, ou sinon s'allonger dans un fossé ou un ravin.
    • Ne pas rester dans la voiture.
    • S'il n'y a pas d'abri, s'accrocher à la base d'un arbuste ou d'un taillis.

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